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 Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte

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Byron J. Pierce

Byron J. Pierce


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MessageSujet: Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte   Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte Icon_minitimeMer 9 Mar - 1:05

    C’était certes peu glorieux de demander de l’aide à une femme pour faire son nœud de cravate, mais avait-il vraiment le choix ? On lui a jamais appris à le faire, et pour cause, les occasions où il porte un costume sont extrêmement rares. Cependant, avec Sixtine, il n’éprouvait aucune gêne. Il se laissa faire sans broncher, la regardant s’exécuter un léger sourire au coin des lèvres. Il trouvait ça chou, qu’elle accepte de lui venir en aide. Oui bon d’accord, il a tendance à trouver chou un peu tout et n’importe quoi, du moment qu’elle est concerné. C’est juste que voilà, il ne se lasse pas de la voir se comporter aussi. Ca lui donnait l’irrésistible envie de la prendre dans ses bras pour lui faire des bisous et des câlins. Faire le niais, en gros. Quand elle eut terminé d’ajuster correctement sa cravate, Byron lui fit un timide hochement de tête en guise de remerciement. En temps normal, il l’aurait embrassé. Mais dieu merci, il n’avait pas encore ce réflexe en public. Bonjour le scandale des enchères si il avait osé embrasser sa demi-sœur devant tout le gratin de Vegas. Et évidemment, il approuvait totalement son idée d’aller ailleurs. Ca allait de soi. Pas question de rester ici trop longtemps. Il sentait déjà l’envie de l’embrasser, très forte, qui le tiraillait et lui serrait le cœur. Il voulait la sentir contre lui, tout de suite, sans attendre. Mais c’était hélas de l’ordre de l’impossible et de l’inconscient. Il lui en a fallu peu, pour qu’il accepte de passer cette soirée avec elle. Pour qu’il retrouve toute l’affection qu’il a à son égard. Pourtant, il sait pertinemment que tout n’est pas réglé entre eux, et qu’à un moment de la nuit, le sujet du pub finira par arriver sur le tapis. Et il l’attendait de pied ferme. Il estimait avoir de son côté plutôt bien réagit, gardant pour lui ses pensées agressives. Contrairement à elle, qui l’avait ouvertement blessé, voir humilié devant les deux jeunes hommes. Il avait eu la désagréable sensation de passer après Maxim. Et il détestait ça. Il ne lui demanderait pas de choisir entre son meilleur ami et lui, mais malgré tout, il souhaiterait qu’elle ne le rabaisse pas en faveur de Maxim. C’était insupportable. Mais patience. Il aura le temps de lui en parler. Pour l’heure, il était temps de quitter les lieux.

      « Suis moi, j’ai peut être une idée. »

    C’est réellement dommage qu’il n’ait pas pu organiser cette soirée. Franchement, il aurait pu faire un truc vraiment sympa, voir romantique. Au lieu de ça, il doit se contenter de réfléchir deux fois plus rapidement pour trouver quelque chose à la hauteur de sa compagne. Il voulait qu’elle passe une soirée superbe, comme jamais elle n’en aura vécue. Encore une fois, il voulait se démarquer de ses autres conquêtes. Et de son mari aussi. Un mari dont elle semblait attendre impatiemment le retour. Vérité ? Bluff ? Il l’ignorait, mais ce fait, il l’avait lu très clairement. Et ça aussi, ça le démangeait d’en parler. Tout comme ses relations sexuelles avec Maxim, dont il voulait connaitre les détails. Il était presque obsédé par tout ça. Par ses relations avec les autres hommes. Sa jalousie était de l’ordre du maladif. Il était d’ailleurs à deux doigts d’aborder le sujet … avant de s’y résigner. Non, pas tout de suite. Quand le jeu sera lancé, et qu’il pourra tout obtenir d’elle, il se permettra d’aller piocher quelques révélations juteuses. Pour le moment, il se contenta d’ouvrir la marche vers la sortie du casino. Et à sa grande surprise, à l’extérieur, juste devant l’entrée, se trouvait plusieurs limousines dont certains se dépêchaient d’y entrer. C’était visiblement à disposition des clients de la vente. Au moins, on peut pas dire qu’ils font les choses à moitié ! C’est tout sourire que Byron se dirigea vers l’une d’entre elle, avant d’ouvrir la portière à sa demi-sœur :

      « Après vous mademoiselle ! »

    Le costume lui donnait une certaine prestance, dont il se permettait d’user et abuser. C’est pas tous les jours qu’il a l’occasion de se faire passer pour un riche hériter de Vegas. Alors autant en profiter et en jouer à fond ! Une fois Sixtine dans la limousine, il en fit le tour pour y rentrer à son tour. Il indiqua le Caesar’s Palace comme destination de la soirée, avant de fermer la vitre teintée de la limousine. Voilà, déjà là, ils retrouvaient un semblant d’intimité. Tel un gamin qui découvre pour la première fois un parc d’attraction, Byron regarda partout autour de lui, admirant tous les détails du luxueux intérieur. Oh ! Ya même une bouteille de champagne à leur disposition ! Pourquoi se priver. Contre toute attente, cette soirée s’annonçait divine ! C’est pas si mal d’être un bourge finalement. Après avoir donné un verre à demi-sœur, il fit sauter le bouchon de la bouteille de champagne, et en déversa dans chacun des deux verres. Son regard retrouva celui de Sixtine.

      « A nous ? »

    Oui, il préférait demander, au vu des quelques doutes qui le travaillait. Que ressentait-elle pour lui ? Etait-ce toujours d’actualité ? Ca le rendait fou de ne pas savoir. Et simplement trinquer à leur relation, l’aiderait à y voir un peu plus clair.

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Sixtine Pierce Huntington

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MessageSujet: Re: Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte   Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte Icon_minitimeJeu 10 Mar - 20:51

Sixtine le suivit hors du casino, sourire aux lèvres. La perspective de la soirée qui s’annonçait la séduisait déjà. Elle retrouvait Byron, enfin, dans une soirée où elle semblait condamnée à devoir se laisser porter de surprises en surprises. Cet inconnu aurait pu susciter chez elle un bonheur lisse et parfait, si seulement il ne s’accompagnait pas d’une légère inquiétude. Elle le savait, il voudrait qu’elle lui rende des comptes à un moment ou à un autre. Et elle craignait de bien mal gérer la situation, comme à son habitude. Et ce n’était pas faute de faire des efforts. Mais il savait plus que quiconque la difficulté qu’elle pouvait avoir à s’excuser, ouvrir son cœur, être sincère et, plus simplement, retirer son masque de garce.

Et ne pas y penser était difficile pour elle. Cette soirée aurait pu être parfaite si seulement un nuage gris n’avait pas plané au-dessus de sa tête. Néanmoins, après qu’il lui ait ouvert la porte et qu’elle entre dans la limousine après avoir égaré sa main contre son bras, elle s’appuya contre une confortable banquette de cuir, déposa sa tête en arrière et ferma un moment les yeux, tentant de faire le vide, de chasser cette petite menace. Elle détestait tellement ces non-dits, ne pas être en termes parfaits avec lui. Dès qu’il la rejoignit dans la limousine, elle se redressa un peu en lui adressant un léger sourire d’excuse, prétextant une petite fatigue à son état.

Quand il revint près d’elle, elle ne put le quitter des yeux. Son regard, sa façon de s’exprimer, d’être… tout lui avait manqué. Et elle le trouvait incroyablement beau en costume. Elle ne se lassait pas de l’observer avec un petit sourire au coin des lèvres. Tandis qu’il versait deux coupes de champagne, elle sortit une petite plaquette de cacheton de son sac à main et en glissa un dans le verre qu’il lui tendit. Rien de bien méchant ; ça accentuait juste les effets. Et bon sang qu’elle avait besoin d’arrêter de réfléchir, de se torturer. Elle observa simplement avec un certain amusement de nouvelles bulles s’ajouter à celles du champagne ; et ne reprit contenance qu’en entendant ce à quoi il trinquait. Eux. Mais c’était d’avantage une interrogation. Et pour toute réponse, elle lui avoua : « Tu m’as beaucoup manqué… »

Et elle descendit sa coupe de champagne avant de poser la coupe vide et d’avoir ses mains ainsi libérés. Elle lui caressa simplement la joue du bout des doigts, l’observant se laisser faire avec un sourire conquis. Doucement mais sûrement, elle avait cette impression de le retrouver ; et son cœur se serrait dans sa poitrine tandis qu’elle était pleine d’espoirs, en ayant tout de même peur de s’aventurer trop loin. Ses doigts descendirent finalement dans son cou et s’égarèrent sur une trace de suçon qui commençait à disparaître et qu’elle reconnaissait comme étant le sien. Elle espérait sincèrement qu’aucune lèvre n’ait eu ces derniers jours l’honneur de parsemer son cou de baiser. Elle fit descendre un peu le col de sa chemise avant de venir doucement égarer ses lèvres contre cette partie de son corps qu’elle affectionnait. Elle n’y déposa qu’un léger baiser, sensuel. Sa main s’égara le long de son torse sur sa chemise, et l’une de ses jambes se repliait et remontait le long de celles de Byron. Son cœur battait la chamade. Le retrouver. Enfin… « Pourquoi le Caesars ? Ma suite te manque ? ». Avant qu’ils ne se disputent, il avait eu l’honneur de passer des nuits torrides dans ses draps. Elle finit par l’embrasser, doucement, une nouvelle fois, car incroyablement méfiante quant au fait qu’il puisse d’un coup se braquer. Elle n’avait pas oublié encore que la situation avait quelque chose d’instable entre eux. Et simplement, elle jouait avec cet équilibre, se risquant à s’y brûler les ailes. Elle retrouva finalement son cou, ajoutant une information qui pouvait changer la donne, et qui la séduisait énormément … « N’oublie pas que tu peux me demander ce que tu veux, jusqu’au petit matin ».
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Byron J. Pierce

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MessageSujet: Re: Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte   Didn't I tell you how as deep as I need you ? || Sixte Icon_minitimeVen 11 Mar - 1:24

    Bien qu’il n’apprécie pas particulièrement qu’elle se drogue pour cette soirée, il ne fit aucune remarque. Et puis elle éclipsa rapidement ce détail de son esprit lorsqu’elle lui avoua qu’il lui avait manqué. Il ne lui en fallu pas plus pour être aux anges. Il a déjà eu de nombreuses occasions de constater qu’elle tenait à lui. Mais il éprouvait toujours le besoin de l’entendre. Qu’elle lui prouve aussi. Cet amour était tellement irrationnel, tellement improbable, qu’il ne parvenait pas toujours à y croire. Dans le sens où il y a des dizaines d’hommes qui lui tournent autour, et pourtant, c’est avec lui qu’elle choisit d’être. Le seul homme sur cette terre qu’elle n’a pas droit d’avoir. Le seul qui lui est interdit d’aimer. Et il aimait ce statut. Tellement qu’il se rendait malade. Malade de jalousie. Il sait qu’elle a eu de nombreuses conquêtes avant lui, même certainement plus qu’il ne pouvait se l’imaginer. Et il détestait ça. Savoir que d’autres l’avait embrassé, touché. Il aurait aimé qu’ils n’existent pas, qu’elle soit à lui seulement, et ce depuis le début. Maxim, son mari, il n’était pas à sa hauteur. Lui l’était. Lui, il la comprend, la voit tel qu’elle est, est capable de la rendre heureuse. C’est un secret pour personne, Byron a toujours été possessif envers les gens qu’il aime. Mais avec Sixtine, la possessivité atteignait son paroxysme. Alors oui, il était heureux de lui avoir manqué. D’être devenue une personne indispensable à sa vie. Et c’est sourire aux lèvres qu’il but sa première gorgée de champagne. A eux.

    Finalement, elle fit un pas vers lui. Son regard plongea dans le sien au contacte de ses doigts contre sa joue. Il se laissait faire. Il ne lui en voulait pas assez pour la repousser. Les quelques jours passaient sans elle lui ont permis de prendre du recul sur ce qui s’était passé. Le soir même, c’est évident qu’elle n’aurait eu aucune chance avec lui, qu’aucune discussion n’aurait été possible sans agressivité, voir méchanceté. Mais ce soir, il était une nouvelle fois de bonne humeur. Il n’attendait même qu’une seule chose : qu’elle se décide à l’embrasser. Cette ambiance un peu tendue, timide, dans la limousine, il trouvait ça touchant. Comme un tout nouveau couple qui hésite encore à se laisser aller. Il avait véritablement l’impression d’être … normal. D’être qu’un homme qui accompagne sa petite amie. Et sa petite amie, il comptait bien lui demander de l’être. Elle n’a pas le droit de dire non, c’est bien ça ? Alors faut en profiter. Maintenant, reste à trouver la façon de lui demander. Et il avait déjà une petite idée derrière la tête. Pour l’heure, il se contenta de fermer les yeux sous ses assauts sensuels. Son baiser, sa caresse, sa jambe repliée sur lui. Son cœur s’emballa de plus bel. C’était toujours ainsi avec elle, très intense. Pourquoi le Caesar’s ? Question pertinente qui lui arracha un léger rire, et à laquelle il allait répondre. Mais elle l’embrassa. Et c’est presque si il en oublia aussitôt la question posée. Même si il sentait sa crainte et son hésitation, il tenta de garder ses lèvres contre les siennes le plus longtemps possible. C’était juste incroyablement bon de les retrouver. Il ne compte même plus le nombre de fois où il a eu envie de traverser le couloir pour aller la voir dans sa chambre. Pas pour discuter de ce qui s’est passé, mais pour l’embrasser à pleine bouche. Au final, ce baiser se révéla être trop bref à son goût. Mais ils avaient encore toute la soirée pour se rattraper. S’embrasser pendant des heures et sans rien faire d’autres.

      « Nan en faite, j’ai choisis le Caesar’s Palace, parce que j’aimerais passer du temps rien qu’avec toi, à l’abri des regards, mais tout en restant à l’extérieur. Et arrête de faire ta curieuse yaura plus de surprise ! »

    Malgré tous les points positifs de leur relation, devoir rester cacher était sans doute le plus exécrable. Et il devait faire des pieds et des mains pour trouver une idée convenable, qui n’incluait par rester enfermer dans la chambre toute la soirée. Ya pas de raisons qu’ils n’aient pas le droit de profiter de la nuit étoilée de Vegas eux aussi. En parlant de nuit étoilée, il eut une petite idée ! Après avoir cherché un moment le bouton adéquate, appuyant sur plusieurs à la suite qui déclenchaient des trucs dont il ignorait l’existence même, le toit finit par s’ouvrir. Elle l’incitait ouvertement à lui lancer un défi, et c’est ce qu’il comptait faire. Il s’empara de la main de sa demi-sœur, et l’amena avec lui à l’extérieur de la limousine. Il a vu dans plusieurs films des gens faire ça, et il a bizarrement toujours eu l’envie de le faire en vrai. Voir toutes les lumières de la ville pendant que la voiture roule encore. Sentir le petit vent frais s’engouffrer dans ses cheveux. Et surtout, partager ce moment avec elle. Conservant la main dont il s’était emparé dans la sienne, la serrant légèrement, il la regarda ensuite avec un sourire joueur et un air taquin.

      « Je veux que tu m’embrasses, maintenant, devant tout Vegas ! »

    Bien que portant un léger risque, c’était pas non plus jouer avec le jeu. Enfin, un peu. Mais à l’allure de la voiture et à leur hauteur, très peu de gens les verrait. Et même si quelqu’un les voyait, la personne ne parviendrait pas à les distinguer. Dans l’optique où en plus, cette personne les connaitrait. Du moins, il l’espérait. Cette soirée n’est pas comme les autres. Et il aimerait juste une fois au moins, ressentir ce qu’un couple normal ressent. S’embrasser, sans craindre de se faire prendre. Juste une fois.

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